L’horloge de la destinee

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La brume nocturne enveloppait les ruelles pavées de Londres, chaulant chaque réverbère en une explication diffuse, vacillante dans l’humidité de l'obscurité. Dans son fabrique, un horloger travaillait à la explication tremblante d’une lampe à huile, épissant les engrenages brillants d’une montre à gousset qu’il n’avait jamais réussi à piger. Chaque soir, il la posait sur son reconnu, et tout nuit, à minuit carré, elle s’ouvrait d’elle-même, donnant s’échapper un énoncé qu’il ne pouvait ignorer. Ces symboles ne contenaient jamais de noms, jamais d’explications, mais ils évoquaient extrêmement un destin funeste. Il avait d’abord cru à une plaisanterie, un mécanisme anonyme qu’un maître horloger aurait intégré dans l’objet évident lui. Mais lorsqu’il avait entrepris à vérifier ces signaux aux crées divers de l'avenir, il avait compris l’inimaginable : chaque décédé annoncée se produisait propice comme par exemple décrit. Depuis 2 mois, il notait chaque prédiction dans un carnet, tentant d’en déguerpir le rafraîchissement. Un planning voyance gratuite, si un tel aperçu avait existé en ces saisons, n’aurait pas s'étant rencontré moins généraux que ces inscriptions macabres qui s’imposaient à lui, nuit postérieur nuit. Cette nuit-là, l’aiguille de la chemise s’apprêtait à obetenir minuit. L’horloger se redressa, son regard particulier sur le couvercle de la montre. La seconde fatidique arriva, et en tant que immensément, le clapet s’ouvrit avec une minutie inquiétant. Un feuille plié en sortit, glissant sur le abruptement de son établi. Il le déplia doucement, son cœur battant plus important que les rouages qui l’entouraient. ' L’heure tombera sur un innocent. ' Il inspira diablement. Ces messages étaient très cryptiques, mais ils ne laissaient aucune sorte de suspicion sur leur personnalité. Il ajouta cette indication annonce à son carnet, organisant les prévisions comme un planning pour une voyance gratuite, cherchant un cliché, le lien, une démonstration qui lui permettrait d’anticiper le prochain crise. L’aube s’étendit sur Londres, et il se rendit au kiosque à journaux à savoir tout matin. En la première page, il lut un article contant la morbidité d’un jeunes hommes, écrasé sous l’horloge d’un très large hôtel. L’heure était tombée, à savoir annoncé. Et il savait que la montre n’avait pas fini de proférer.

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